Cette collection, commencée à la suite de la méthode anthropométrique et de la dactyloscopie, constitue une source exceptionnelle pour l'étude de la criminalité, du travail de la police et de son laboratoire.

Au-delà du domaine judiciaire, ces images se révèlent d'une grande richesse pour les recherches en histoire, sociologie, architecture...

Les Archives de l'état à Liège mettent au jour leur importante collection d'environ 100000 négatifs, principalement sur plaques de verre.

Après l'analyse de la collection, la mise en contexte de la photo judiciaire, les auteurs traitent de l'évolution du travail de la police, de la médecine légale, de l'apport de la photo dans l'accidentologie historique et abordent les aspects de société qui y sont inévitablement associés.